Première Unité

5 Échafaudages 1


Moi, je

Comme l’anglais, le français utilise les noms et les pronoms pour indiquer les sujets et les objets des actions verbales. On les identifie généralement par leur « personne », c’est-à-dire le rapport au locuteur ou narrateur principal de l’énoncé.

La première personne, c’est moi ( je ) et nous ( puisque nous, c’est moi et quelqu’un d’autre ).

La deuxième personne, c’est toi ou vous : les personnes ou entités à qui je m’adresse en rapport dialogique.

Dans la troisième personne, il s’agit de l’autre : quelqu’un ou quelque chose dont on parle ou écrit ( il, elle, on, ils, elles ).

 

 


Le genre

Qui que ou quoique ce soit, on est toujours « genrés » en français.

Le genre de ces noms et pronoms reviennent du latin, la langue de base des langues romanes ( « Romance languages » ) et qui avait trois formes : le masculin, le féminin et le neutre. En français, le neutre a disparu au Moyen Age ( dans l’ancien français ).

Julie Missbutterflies
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Attribution-ShareAlike 2.0 Generic (CC BY-SA 2.0)

Mais, de nos jours où l’on reconnait l’exclusion historique et linguistique des gens qui sortent de la dichotomie mâle/femelle,  l’importance de l’inclusivité dans la langue française s’annonce. Pas dans tous les pays et cultures, mais au moins dans certains, on voit la naissance et l’usage de pronoms transgenres. Et on demande aux autres ses pronoms préférés.

 

 

Voici une infographie canadienne à ce sujet :

Pronoms neutres et genrés ( Toronto, CA )
( tiré d’ici )

Pour aller plus loin :

Cet article en anglais explique comment les langues que nous parlons contrôlent nos perceptions de genre. Certaines langues genrées renforcent des idées dites sexistes. D’autres langues, telles que l’indonésien, le finlandais et le mandarin sont sans genre.

“From Mouth to Mind: How Language Governs our Perception of Gender” en Discover Magazine.

Après l’avoir lu, essayez de répondre à haute voix aux questions suivantes.

  • Quelle est la différence entre le sexe et le genre ?
  • Trouvez-vous l’anglais sexiste ? Quels problèmes de genre repérez-vous dans la langue anglaise ? Y a-t-il des moyens de les rendre moins sexistes ?
  • Et le français ? Comment est-il par rapport au genre ? Y a-t-il des efforts pour ou contre l’inclusivité LBGTIQ en ce qui concerne la langue ?

 

Ce qui suit offre des leçons sur les pronoms, surtout la première personne, par le biais d’une curation d’un cours récent de FREN 202. Le module qui la soutient vise les pronoms disjoints ( moi, toi, etc. ) et la prononciation du son /wa/ et la syllabation française.  Amusez-vous-en bien !

 



Les noms, les adjectifs et l’accord

On a déjà constaté que le français est une langue genrée à partir de son évolution du latin.  Le latin contient trois genres : le masculin, le féminin et le neutre. En plus, c’est une langue déclinée, ce qui veut dire que chaque nom ou pronom change de forme d’après son rôle dans la phrase ( sujet, complément d’objet direct ou indirect ) ou selon l’époque où il est rentré dans la langue ( la Renaissance a vu la création de beaucoup de vocabulaire basé sur le latin classique, par exemple ). Heureusement, le français n’a pas gardé ces déclinaisons, mais on en voit des traces dans certains vocables qui affichent deux formes différentes ( roi/royal <-> régalien ou copain <-> compagnon ). Néanmoins, le français reste bien marqué par le genre des mots. Ainsi, les enfants francophones apprennent le genre de chaque mot dès le premier jour. Après tant de répétitions suivies d’ exercices à l’école, le genre des mots s’insinue dans leur être linguistique et culturel. En plus, des dispositions s’établissent par moyen desquelles on sait transférer le genre d’un groupe sur ses semblables. On voit un phénomène similaire en anglais auprès des verbes comme write/wrote, speak/spoke. On l’apprend par l’expérience, puis l’école renforce les règles.

Pour ceux qui parlent d’autres langues romanes ( l’espagnol, l’italien, le romanische ), la plupart des genres des substantifs restent les mêmes puisqu’elles sont toutes dérivées des genres latins. Mais pour ceux d’entre nous qui ont une langue maternelle autre, comment devons-nous l’apprendre ?

Voici un ‘truc’ d’une prof de français en France : https://qr.ae/TUhj7O.  Elle suggère d’apprendre les nouveaux substantifs dans une phrase qui montre le genre du nom : une petite maison (f) ou un homme nerveux (m).

Il y a aussi certaines catégories qui facilitent la distinction pour nous :

Le masculin

By Tableau_periodique_base.svg: Cdangderivative work: Cdang (Tableau_periodique_base.svg) [CC BY-SA 3.0 (https://creativecommons.org/licenses/by-sa/3.0)]

Les métaux = masculin ( du fer, du zinc, etc. )Les arbres =masculin ( un bananier, un sapin, etc. )

Les jours et les saisons =masculin ( le lundi, le printemps )

Les couleurs = masculin (le rouge, le bleu, le blanc )

les langues =masculin ( le français, le chinois, l’arabe )

Les noms en -ail =masculin ( l’ail, le travail, le portail )

Les noms en -ieul et uiel =masculin ( l’accueil, le fauteuil )

Les noms en -ant =masculin ( un chant, un restaurant )

Les noms en -isme =masculin ( le séisme, le capitalisme, l’égoïsme, le communisme )

Les noms en -ament et -ement =masculin ( le testament, le développement )

Les noms en -oir =masculin ( le miroir, le boudoir )

La plupart des noms en -on, -illon, -is, -in, -as, -ou, -a, -o, -et, -r, -g, -c, -al, -eau, -aire, -age, -able =masculin

Le féminin

Des aides-mémoire pour les mots toujours ou presque toujours au féminin suivent :

Les voitures = féminin ( une VW, une Peugeot, une Mercedes )

Les sciences, études, disciplines= féminin ( la science, la biologie, la philosophie )

Presque tous les noms en -elle, -esse, -ette, -ille, -aille = féminin ( une prunelle, une princesse, une taille )

Presque tous les noms en -gion, -tion, -xion = féminin (une région, une négation, une connexion )

Beaucoup des noms en -ure, -ise, -ison, -ade, -aine, -aie = féminin ( une douzaine, une comparaison, une parure)

Pour des information supplémentaires sur le nom et son genre, on peut s’y adresser.

Pour pratiquer ces genres, on peut bien se diriger aux exercices du même site.

Le nombre : le singulier et le pluriel

Parfois on décrit les choses au singulier ou bien au pluriel, Typiquement la forme offerte dans les dictionnaires, c’est  au singulier. Pour former le pluriel,  comme en anglais, on rajoute  un -s à la forme au singulier. Par exemple:

le livre –> les livres

un garçon –> des garçons

la table –> les tables

une fille –> des filles

Mais bien sûr, il y a des exceptions !  Certains prennent un -x au lieu d’un  -s. Par exemple :

le bureau –> les  bureaux

un bijou –> des bijoux ( voir la chanson ci-dessous )

un  cheveu –> des cheveux


Il y a des mots où un « l  » final se transforme en « u » que vous connaissez déjà, comme à+le> au, ou bien de+le>du, même cheval au pluriel, c’est chevaux.

 

Puisque l’adjectif s’accorde au genre du substantif qu’il qualifie, la plupart des adjectifs ont des formes masculines, féminines, et au singulier ou au pluriel.

Masculin au singulier Féminin au singulier Masculin au pluriel Féminin au pluriel
1 grave

sévère

facile

grave

sévère

facile

graves

sévères

faciles

graves

sévères

faciles

2 masculin

commun

masculine

commune

masculins

communs

masculines

communes

3 bon

ancien

bonne

ancienne

bons

anciens

bonnes

anciennes

4 actif

travailleur

conservateur

sérieux

 

active

travailleuse

conservatrice

sérieuse

 

actifs

travailleurs

conservateurs

sérieux

 

actives

travailleuses

conservatrices

sérieuses

 

5 beau/bel

vieux/vieil

belle

vieille

beaux

vieux

 belles

vieilles

Exercice de réflexion

Qu'est-ce qu'une biographie ?

On y essaie d'établir les parties essentielles d'une biographie.






    Ce que c'est qu'une biographie. Parties essentielles.
  • Intérêt

Formation des adjectifs

Essayez de dégager la raison pour laquelle certains adjectifs changent de forme.

  • Qu'est-ce qu'il y a de similaire entre les formes du premier group d'adjectifs, qu'elles soient au masculin ou au féminin ?
    (Tuyau : remarquez la fin des mots)
  • Qu'est-ce qu'il y a de similaire entre les formes du premier group d'adjectifs, qu'elles soient au masculin ou au féminin ?
    (Tuyau : remarquez la fin des mots)
  • Qu'est-ce qu'il y a de similaire entre les formes du deuxième group d'adjectifs, qu'elles soient au masculin ou au féminin ?
    (Tuyau : remarquez la fin des mots)
  • Qu'est-ce qu'il y a de similaire entre les formes du troisième group d'adjectifs, qu'elles soient au masculin ou au féminin ?
    (Tuyau : remarquez la fin des mots )
  • Qu'est-ce qu'il y a de similaire entre les formes du quatrième group d'adjectifs, qu'elles soient au masculin ou au féminin ?
    (Tuyau : remarquez la fin des mots)
  • Qu'est-ce qu'il y a de similaire entre les formes du dernier group d'adjectifs, qu'elles soient au masculin ou au féminin ?
    (Tuyau : remarquez la fin des mots)

Pour aller plus loin :

 

Travaux pratiques sur les adjectifs

La professeure vous envoie un portrait pour en faire une description assez détaillée de la personne imagée.  Le modèle de la professeure se trouve ici.

Veuillez décrire votre personne comme la professeure a fait dans son modèle.

Governor Gordon Stettinius (VMFA)
  • Le visage ( rond, carré, long, etc. ), les cheveux ( blond, en broussaille, en dreadlocks, etc. ), les habits ( vieille mémé, M. cravate, hippie, etc. ), le nez ( long, crochu, un bec de Cyrano, etc. ), le «look» ou style ( cool, bcbg, ringard, etc. ).
  • Sa personnalité ( sérieuse, frivole, hargneuse, agressive, douce, simple, etc. )
  • Ses intérêts ( les sports, la came, l’argent, le pouvoir, etc. )
  • Sa carrière ( un cadre, un cowboy, un clown, une vedette de rock, etc. )

Mettez votre description à cette page en Google :


Le comparatif &  le superlatif

On a souvent besoin de comparer les personnes, les choses, les idées. Bien sûr sans préjugés et sans malice ! Mais comment faire en français ? C’est même plus facile qu’en anglais car on utilise les adverbes « plus » et « moins » pour presque toutes les comparaisons.  Par exemple, voilà trois portables. Le blanc est plus proche de moi que les deux autres. Les deux qui sont plus proches sont aussi plus petits que celui au fond.  Alors voici comment faire :

  1. Choix du caractéristique à comparer ( normalement un adjectif ) : proximité, grandeur, nombre, etc.
  2. Usage de plus + , aussi =,  ou moins –  pour comparer.
  3. Ajout du comparateur « que » suivi de l’autre élément de la comparaison.

Par exemple : Les étudiants sont plus nombreux que les professeurs dans ce cours. Il n’y a qu’un professeur. . . .

Les étudiants sont souvent moins âgés que les profs !

Parfois certains étudiants sont aussi âgés que le professeur.

Le français est plus facile que l’anglais en ce qui concerne le comparatif, n’est-ce pas ?

Toutes les autres règles d’accord ( genre, nombre ) restent intactes.

Le seul comparatif qui posera peut-être des problèmes, c’est bon.ne.s tout à fait comme en anglais (good, better). Une note de A est bonne. Une note de A est meilleure qu’une note de B, C, D, et bien sûr, qu’un F. Un cours de français est meilleur qu’un cours d’une autre langue  ( !–oh là là on frôle les préjugés ! ).

Le superlatif cherche à exprimer le comble ou le nadir des qualités ou nombres d’un groupe,  ce qui est le plus grand, le moins noicif, etc. . On change légèrement la formule :

  1. Choix du caractéristique dont trouver le comble/nadir ( normalement un adjectif ) : proximité, grandeur, nombre, etc.
  2. Usage de le/la/les  plus + ou le/la/les moins – pour en sortir la supériorité.
  3. Ajout de la préposition « de » suivi du groupe auquel cette personne, endroit ou chose dépasse.

Ainsi, l’iPhone blanc est le plus proche des trois téléphones. Il est aussi le plus clair des portables (les deux autres sont noirs).  Les étudiants sont presque toujours les personnes les plus nombreuses du campus ( professeurs, gestionnaires, ouvriers ).  Peut-être dans votre cours de français, le professeur est la personne la plus âgée de la classe entière. Mais, il n’est pas sans doute la personne la moins âgée de tous.

Pour  aller plus loin dans cette affaire du comparatif et superlatif, on peut se diriger vers ce site.

Et pour pratiquer, voici un assez bon exercice.

 


Les verbes

Que savez-vous déjà ?

Pour communiquer couramment en français, il faut utiliser rapidement des verbes avec le sujet approprié ( c’est-à-dire, de conjuguer les verbes ). On essaie ici de vous offrir des stratégies d’accumuler cette facilité verbale. Si vous apprenez mieux en comprenant le système, on explique les bases du système verbal . Au contraire, si vous apprenez mieux en pratiquant, sautez aux tableaux pour réviser les formes et de vous exercer. Il y a tout en bas, des liens à des explications, exercices, images, tableaux tirés du monde éducatif francophone. Mais, si vous avez toujours du mal à bien retenir vos verbes, consultez le Tutoring Center à Hibbs Hall : on a des chargés de travaux dirigés extraordinaires là-bas ! Enfin, le web est bourré de vidéos YouTube, des blogs, des sites libres et payants, et des apps qui vous offrent une multitude d’opportunités de perfectionner votre verbiage ( jeu de mots minable !)

Le Système verbal

Tous les verbes sauf être et avoir se regroupent sous trois catégories d’après leurs infinitifs : ceux comme parler, ceux comme finir; toutes les autres terminaisons ( -re, -oir, -ir irrégulier, et aller ).Les verbes du premier groupe (-er ) sont les plus fréquents ( 95% ou quelques 6000 verbes ), le deuxième ( -ir ) à  3 % ( 300 verbes ), le troisième à  2 %.  Ceux du premier groupe sont les plus faciles à conjuguer car leurs formes sont très régulières, n’ayant que peu de changements orthographiques ( préférer –> je préfère, appeler –> j’appelle, manger –> mangeons, commencer –> commençons ). Le deuxième groupe se distingue par l’infix -iss  ( je finis –> nous finissons ). Le troisième groupe est le moins nombreux mais compte trois sous-groupes plus le verbe aller ( qui n’est pas d’ailleurs du premier groupe malgré son infinitif en -er ). Ce troisième groupe comprend quatre sous-groupes dont

  1. Les verbes terminés en -IR ( comme mourirvenir dont les voyelles se diphthonguent );
  2. Les verbes terminés en -OIR (comme pouvoir, recevoir);
  3. Les verbes terminés en -RE (comme rendre, prendre )
  4. Aller qui, malgré son –er, fait partie du troisième groupe.

En ce qui concerne la fréquence, il y a 50 verbes qu’il faut savoir utiliser et conjuguer dans les temps et modes les plus importants ( le présent, l’imparfait, le passé composé, le futur, le conditionnel ).  Les voici :

Les 50 verbes les plus fréquents dans le français courant
Rang À l’écrit À l’oral
1 être être
2 avoir avoir
3 faire faire
4 dire dire
5 pouvoir aller
6 aller voir
7 voir savoir
8 savoir pouvoir
9 vouloir falloir
10 venir vouloir
11 falloir venir
12 devoir prendre
13 croire arriver
14 trouver croire
15 donner mettre
16 prendre passer
17 parler devoir
18 aimer parler
19 passer trouver
20 mettre donner
21 demander comprendre
22 tenir connaître
23 sembler partir
24 laisser demander
25 rester tenir
26 penser aimer
27 entendre penser
28 regarder rester
29 répondre manger
30 rendre appeler
31 connaître sortir
32 paraître travailler
33 arriver acheter
34 sentir écouter
35 attendre laisser
36 vivre entendre
37 chercher rentrer
38 sortir commencer
39 comprendre marcher
40 porter regarder
41 entrer rendre
42 devenir revenir
43 revenir lire
44 écrire monter
45 appeler payer
46 tomber chercher
47 reprendre jouer
48 commencer paraître
49 suivre attendre
50 montrer perdre

( tiré d’ici )

Pour atteindre le niveau Intermédiaire Bas, la capacité d’utiliser la plupart de ces verbes au présent sans trop chercher ses formes est typique. Les conjuguer au passé composé, imparfait, futur et conditionnel montre des compétences croissantes qui tendent vers le niveau avancé.

Et puis cette petite vidéo explique la conjugaison au présent des verbes au sujet « je », c’est-à-dire la première personne au singulier.

https://www.youtube.com/watch?v=dScuAEVJuzA

Pierre nous raconte les formes de la première conjugaison :

Et voici la conjugaison des verbes des 2me et 3me groupes :

Mais comment les manipuler d’une manière automatique ?  Bien sûr, il faut les partiquer, et par écrit et oralement. Les répétitions à haute voix, surtout en petit dialogue :

  • Tu pars ?              Oui, je pars tout de suite.
  • Tu finis ?              Oui, je finis en ce moment.
  • Je te dérange ?    Enfin, oui, tu me déranges un peu !
  • Peux-tu venir ?    Oui, je peux.
  • Tu viens ?             Non, je ne viens pas.

Assez souvent, les formes je-tu s’écrivent et se prononcent le même. Seuls les verbes être, avoir, aller montrent des formes différentes :

  • Tu es là ?              Oui, je suis ici.
  • Tu as la clé ?        Oui, je l’ai.
  • Tu y vas ?              Non, je n’y vais pas.

Voici un tableau des verbes modèles des trois groupes verbaux :

1r Groupe -ER Infinitif Présent  imparfait (ais, ait, ions, iez, aient) participe passé futur (ai, as, a, ons, ez, ont)
trouver trouve/trouvons trouv-ais / trouv-ions trouvé trouver-ai
manger mange/mangeons mange-ais/mang-ions mangé manger-ai
2me Groupe -IR finir finis/finissons finiss-ais/finiss-ions fini finir-ai
3me Groupe   -RE entendre entends/entendons entend-ais/entend-ions entendu entendr-ai
prendre prends/prenons pren-ais/pren-ions pris prendr-ai
3me Groupe

-OIR

vouloir veux/voulons voul-ais/voul-ions voulu voudr-ai
3me Groupe

-IR

sentir sens/sentons sent-ais/sent-ions senti sentir-ai
ALLER aller vais/allons all-ais/all-ions allé ir-ai

Pour en apprendre plus et pour chercher la conjugaison de certains verbes, allez aux sites :

Media Attributions

  • Pronoms genrés

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