21 Le Manga en France

Abigail Reasor

Les années 1980 et 1990 ont vu la croissance des dessins animés japonais à la télévision a travers le monde. Il y a avait des Français qui pensaient que l’influence japonaise n’était pas dans la culture française, parce que ces émissions étaient trop violentes ou << parfois même tout simplement de ne pas être français >> (68). Selon Darling-Wolf (2014), les Français n’avaient pas peur de l’adoption de la culture japonaise, malgré le rôle du Japon dans la Deuxième Guerre mondiale. La France était plus proche de l’Allemagne que du Japon, donc il y a plus peur de << l’Allemagne de Hitler >> entre les citoyens français.  En fait, les écrivains et les artistes français du XIXe siècle on construit une << culture de l’admirateur >> pour l’art et la nourriture japonais.

 

Akira de Katsuhiro Ōtomo est connu comme la première BD japonaise qui a été publiée avec succès en France en 1989. Toutefois, deux émissions avaient du succès en France un peu plus tôt — Goldorak et Candy Candy étaient basés sur les BDs avant leurs débuts à la télévision (Prada, 2016, pp. 67-80).

 

 

 

 

 

L’introduction de Candy Candy en français

A mesure que le manga gagnait une popularité croissante en France, les distributeurs français ont changé les BDs pour aider à la compréhension par le public français. Le manga perdait un peu de son intégrité dans ce processus et pour cette raison, le manga ne se prenait plus au sérieux dans la culture française d’une manière sérieuse.

Le manga imprimé trouvait du succès en France grâce au “shōnen manga.” Le “shōnen manga” était des émissions qui gagnaient en popularité avant les BDs japonaises en France. A cause de l’acceptation de ces émissions, des Français ont accueilli le manga imprimé dans leur culture.

Questions

  1. Dans l’ère des réseaux sociaux, est-ce que les travaux imprimés sont hors sujet pour partager les différentes cultures à travers le monde?
  2. Comment puis les médias numériques promouvoir le partage des cultures?

Sommaire

  • Des Français n’aimaient pas l’influence japonaise sur la culture française — cependant, les écrivains et les artistes français du XIXe siècle on construit une << culture de l’admirateur >> pour l’art et la nourriture japonais.
  • Des BDs et des émissions japonaises ont gagné une popularité croissante en France, comme Akira de Katsuhiro Ōtomo, Candy Candy et Goldorak. 
  • Maintenant et à l’ère de la mondialisation, la culture japonaise est accepté en France.

 

 

 

 

 

Ouvrages Cités

Darling-Wolf, F. (2014) Imagining the Global. Ann Arbor: U of Michigan. The New Media World. Web.

Prada, N. (2016). La «Nouvelle Manga» et autres vicissitudes de la légitimation du manga en France. Alternative Francophone, 1(10), 67-80. https://journals.library.ualberta.ca/af/index.php/af/article/view/28183/pdf

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